Strasbourg dans le dernier quart du XIVe siècle et au XVe siècle. Code Insee de la commune : 67544 Bas Rhin [67] - Strasbourg - Alsace - Grand Est. Notice en attente de catalogage. Ces défenses sont attestées dès l'Antiquité, entre les Ier et IVe siècles de notre ère, avec l'édification des murailles du camp romain d'Argentoratum par les hommes de la VIIIe Légion. Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Image fixe : sans médiation Auteur(s) : Piton, Frédéric ( (lithogr) ). n°8), est inscrite sur la liste des monuments protégés19. Strasbourg is situated at the eastern border of France with Germany. La superficie fortifiée atteint alors 202 ha (fig. Sa protection, en date du 7 décembre 1995, a été incluse dans celle de la « grande écluse »32, édictée le 18 mai 1971. n°10), également inscrite au titre des Monuments historiques (protection incluse dans celle de la porte de l’Hôpital). Y. Henigfeld, 2007. Extrait du plan C. Morant (1548), d’après le plan dépl. Dominique Bonneterre, 2008. (dir.). Voir dans la base Mérimée : notice. Cet ouvrage primitif, formant un angle à pan coupé pourvu d’une meurtrière, servit de soubassement à une tour édifiée autour des années 1300 et qui, ouverte à la gorge, s’élevait sur une hauteur observée de 15,60 m au-dessus du sol actuel. In : Collectif. n°23). r/Strasbourg. INRAP : SRA, 2008. M.-D. Waton, 2010. Intégrée au royaume carolingien de Germanie, Strasbourg devient une ville clé de l’Empire germanique à partir du Xe siècle. 36Face à l’Allemagne, la citadelle de forme pentagonale avec un bastion à chaque angle (fig. Phot. Première anthologie des lits européens du XVe au XIXe siècle, Imagerie numérique et patrimoine culturel : enjeux scientifiques et opérationnels, Architecture et patrimoine des frontières. Villot et F. Piton retranscriront dans le détail le tracé des fortifications Vauban. Toulouse : Privat, 1987 ; SCHWIEN, J.-J., HENIGFELD, Y., KELLER, M., WATON, M.-D., ZUMSTEIN, H. Histoire et archéologie des enceintes de Strasbourg. Plan des fortifications de Strasbourg et ses environs (1725). Débutée en 1686, la construction de cette dernière, également dénommée barrage Vauban, a été conçue pour inonder les terrains situés au sud de la ville, en fermant les vannes afin de faire monter le niveau de l’Ill. In : SCHNITZLER, B. et KUNHLE, G. Dans la crypte des jardins de la préfecture, parmi les fondations du Grenier d’Abondance, l’enceinte du Haut-Empire en arrière-plan et, en avant-plan, l’enceinte du Bas-Empire. Coupe stratigraphique, à l’arrière de l’enceinte du XIVe siècle, montrant l’empreinte d’un fossé sur le chantier du boulevard Wilson. La Renaissance. Yves Henigfeld, 2008. Cette voie empruntait ensuite la présente rue du Faubourg National. 26 - HENIGFELD, Y. Strasbourg : Angle du boulevard Wilson et de la rue Wodli. Bilan Scientifique de la Région Alsace 2000. n°6). 27 - Voir dans la base Mérimée : notice PA67000051. Bilan Scientifique de la Région Alsace 2000. Histoire de Strasbourg. Development of Neudorf was also inhibited by its location at the South of Strasbourg, outside her fortifications, where there were only few gates allowing access to the city: the only crossing points were Hospital Gate (Spitaltor), Butchers' Gate (Metzgertor) and Saint Catherine Gate (Katharinentor), later completed with the gate of the citadelle. Geschichte der Befestigung von Strassburg in Elsass vom Wiederaufbau der Stadt nach der Völkerwanderund bis zum Jahre 1681. Que vous soyez en Licence 1, Licence 2, Licence 3 ou Master 1, l'Amicale de Droit, dans un souci constant d'apporter une aide aux étudiants dans la réussite de leurs études, met à votre disposition les annales d'examens des années précédentes. In this building lie the remains of the fortifications around this city, erected during the French Regime in 1717, demolished by an order of the commissioners of this city in 1817. À l'intérieur de cet édifice subsistent des vestiges des anciennes fortifications de Ville Marie construites en 1717 par G.C. 16Les fouilles rue des Glacières, aux Haras et aux Diaconesses ont montré des reprises importantes, remarquables notamment dans le changement de module des briques employées ; la rue des Glacières reste le témoin de la trace du fossé, situé entre la fausse-braie et l’enceinte, reconstruite à la place d’une contrescarpe et reconnue sur près de 70 m de long lors de fouilles préventives au n° 9 de la rue15. Dijon, 2008, p. 414-435. Destiné au prolongement du Boulevard de Strasbourg jusqu’à la Seine, ce nouvel axe faisait parti d’un ensemble comprenant la rue de Rivoli et le Boulevard Saint Germain, appelé aussi “Grande croisée de Paris”. 6Au cours du haut Moyen Âge, la ville, devenue Strateburgo – le bourg de la route – connaît le maintien du castrum, tandis que l’emprise de l’ellipse subit quelques transformations, perceptibles au travers d’un réseau de fossés (cf. © DRAC Alsace, CRMH, ICO482B104_009, 1903. Parking Saint-Aurélie. Devenue française en 1681, Strasbourg atteint les 275 ha d’espace fortifié avec Vauban et son ingénieur Tarade ; les aménagements transforment la ville en forteresse, colonisée par des garnisons. Des fossés des Xe-XIe siècles, perpétuant parfois des axes antiques, restent inscrits dans le parcellaire ; localisés au nord de la rue du Jeu des Enfants, se prolongeant rue du Faubourg National puis bifurquant vers la rue de Molsheim, ils pourraient former limite de paroisses, comme par exemple celle de Sainte-Aurélie sur son côté est7. Illustrateur Weis. Phot. Guy Feuerbach, 2004. Tout récemment, on s’est intéressé à la période d’occupation allemande. 1 Implantée au cœur des premières fortifications de la ville, la cathédrale de Strasbourg, joyau de la capitale alsacienne, voit progressivement croître la surface fortifiée. n°11), inclus dans la protection de 1929. Phot. A shuttle train service runs between the airport and Strasbourg station four times an hour (9 minute journey). Plan de la Citadelle de Strasbourg à la fin du XVIIe siècle. 1). Quant aux fortifications du second Moyen Âge43, quelques tours et tours-portes ont été protégées autour des années 30, ce qui est peu au regard de leur nombre. infra) ont révélé une recharge de gravier en arrière de la muraille et, grâce à la fouille (inédite) effectuée boulevard Wilson10, on peut émettre l’hypothèse que le mur a été installé dans le creux formé par le « nouveau fossé » (cf. n°18). 23Deux tours-portes sont conservées en élévation ; l’ancienne porte dite Bündethor, encore visible dans l’enceinte des Hospices civils (fig. Voir : WATON, M.-D. Problèmes de l’implantation et de l’occupation du camp romain : l’exemple d’Istra. Des éléments de l’époque allemande ont tout récemment été protégés. 39 - KOCH, Jacky. 4 manuscripts. - Nous renvoyons au site suivant qui complète les informations de la base Mérimée : - KUHNLE, G. Strasbourg : Grenier d’Abondance. Phot. 37 - WATON, M.-D. Bilan Scientifique de la Région Alsace 1999. Voir la notice dans le catalogue OpenEdition, Plan du site – Informations légales – Flux de syndication, Nous adhérons à OpenEdition – Édité avec Lodel – Accès réservé, Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search, Le patrimoine militaire et la question urbaine, Les enceintes de Strasbourg à travers les siècles. hist. URL : http://journals.openedition.org/insitu/442 ; DOI : https://doi.org/10.4000/insitu.442, IE, DRAC d'Alsace, service régional de l'archéologie, avec la collaboration d’Olivier Kayser, conservateur régional de l'archéologie d'Alsace dominique.waton@culture.gouv.fr. Le rempart, précédé d’un fossé en eau, était destiné à abriter des casernes à l’abri des bombes, des magasins à poudre et des locaux d’artillerie. 2015 - Cette épingle a été découverte par Daniel Bétourné. Les anciennes fortifications furent remplacées par une enceinte constituée d’une succession de bastions, dominés par des cavaliers et aux flancs très courts, et de courtines sur un plan polygonal simplifié. Sur le front sud-ouest du camp, la muraille est utilisée dans les fondations des immeubles, côté est de la place du Vieil-Hôpital5 tandis que, sur le front sud-est, la fortification qui passait au nord de la rue des Veaux, témoin parcellaire du fossé antique, se trouve vraisemblablement remployée dans le mur de la cave du n° 23. Strasbourg-Ville is the main railway station in the city of Strasbourg, Bas-Rhin, France.It is the eastern terminus of the Paris-Est–Strasbourg-Ville railway.The current core building, an example of historicist architecture of the Wilhelminian period, replaced a previous station inaugurated in 1852, later turned into a covered market and ultimately demolished. M.-D. Waton, 2010. soc. They are buried in the underground levels of the city like vestiges of the beginnings of the modern period, for which two major monuments have been protected. [Victor Beyer] -- The original Church of the Dominicans in Strasbourg, France, was destroyed by fire during the German bombardment of the city in 1870. Strasbourg, ville ancienne ...- Strasburg, a very famous and old clock. h.-t. publié par Liliane Châtelet-Lange. 1858 Le Boulevard de Sébastopol fut l’une des premières opérations entreprises par Haussmann sous le Second Empire. Par la suite, la protection ou la conservation ont parfois porté sur des vestiges retrouvés lors de fouilles archéologiques, la plus grande partie des fortifications médiévales ou modernes étant simplement arasée. Nice, 1996, p. 135-162 ; HENIGFELD, Y., SCHWIEN, J.-J., WERLÉ, M., SEILLER, M. L’apport de l’archéologie à la connaissance de la ville médiévale : le cas de Strasbourg. 5 févr. Pratiques comparées et nouveaux enjeux, Le cheval et ses patrimoines (1ère partie), Les patrimoines de l'enseignement supérieur, Le patrimoine des guides : lectures de l'espace urbain européen, Le cavalier du Pont-Neuf : histoire, restauration et secrets de la statue équestre de Henri IV. Une trace de son angle ouest est encore perceptible dans l’angle nord-ouest de la place du Temple Neuf qu’il épouse. 10Si la partie ouest du tronçon sud a partiellement disparu jusqu’aux anciens Haras, où le mur défensif a été partiellement intégré dans l’habitat, on suit ensuite la fortification épiscopale dans l’actuel tissu urbain. Illustrateur Auteur : Michelet ((graveur)). log in sign up. 15Le faubourg occidental est enclos par une muraille longue de près de 2 600 m ; partant de l’Ill au sud des bâtiments de l’ENA, elle longe les boulevards de Metz, traverse la place de la Gare où la contrescarpe se trouve sous le mur de façade de la gare, longe ensuite le boulevard Wilson, emprunte la rue du Président Poincaré et, après un angle droit, vient rejoindre le canal du Faux-Rempart en longeant la rue du Fossé des Treize du côté est. La majorité de ces éléments sont protégés au titre des Monuments historiques. On peut découvrir le tracé du fossé, transformé en canal du Faux-Rempart dès 1228, en cheminant le long des quais Schoepflin, Kellermann, de Paris, Desaix et de Turckheim, sur tout le front nord de l’ellipse insulaire. Vue du bastion pentagonal dans l’enceinte des Hospices civils. L'ancienne Synagogue de Strasbourg (1898-1941) Close. Les vitraux de l'ancienne église des Dominicains de Strasbourg. Le site des Archives présente de nombreuses photos anciennes de l’édifice (fonds 1 FI et 8 Z Blumer). 43 - APELL, F. von. 46Quai de Turckheim, d’après les rapides observations effectuées après le décrépissage de l’enceinte au nord de la tour classée et qui semblent indiquer une absence de chaînage entre ces deux éléments, le mur défensif avait anciennement été intégré dans l’habitat et utilisé comme façade ; aucun percement nouveau n’a été autorisé. Ancienne construction militaire faisant partie des fortifications de 1870, le Bastion 14, situé rue du Rempart, derrière la gare centrale de Strasbourg a été réhabilité en 2003. Le village fut cité la première fois en 871 mais l'étymologie de son nom (village implanté à côté de la borne) et construit en rond rappelant le tracé des anciennes fortifications. Yves Henigfeld, 2008. 35 - Voir dans la base Mérimée : notice PA67000083. © DRAC Alsace, CRMH, ICO482D001_003_nuc2. 1 - Contrairement à ce que propose Gertrud Kunhle qui s’appuie sur un schéma théorique, sans prendre en compte les données de fouille antérieures et les indices parcellaires livrés par la ville actuellement : KUNHLE, G. Des données nouvelles sur le camp légionnaire d’Argentorate.